Entretien avec Sylvie Magnen, Avocate Associée, responsable de la Stratégie des Ressources Humaines

[Publi-rédactionnel]

Comment expliquez-vous cette place de 2ᵉ employeur préféré des étudiants dans le classement Universum Monde ?

Nous en sommes d’abord très fiers et cela nous incite à continuer notre action dans les écoles et universités pour à la fois faire connaitre nos métiers et recruter les meilleurs talents. Nos collaborateurs vont à la rencontre des étudiants sur les campus aussi bien lors de forums, amphis de présentation et tables rondes métiers, que sur des événements sportifs par exemple. Ce sont ces ambassadeurs, qui en créant des liens de proximité, avec les étudiants leur donnent envie de nous rejoindre à la fin de leur cursus. Ce sont ainsi plus de 850 jeunes diplômés qui après un processus de recrutement très sélectif, font le choix chaque année de nous rejoindre pour vivre l’expérience EY.

Pourquoi dites-vous que l’expérience EY dure toute une vie ?

C’est une expérience qui marque profondément le parcours professionnel de nos collaborateurs et qui démarre par un processus de recrutement particulièrement sélectif grâce auquel nous intégrons les meilleurs candidats. Ensuite, l’accent est systématiquement mis sur le haut niveau de performance des équipes et tout est organisé pour donner la possibilité à nos collaborateurs d’acquérir une solide expérience technique et sectorielle : variété des missions et des problématiques clients, environnement de travail international et plus de 100 heures de formation par an au cours des premières années. Notre modèle d’organisation leur permet, en outre, de progresser chaque année et agit comme un accélérateur de carrière. Quelle que soit la durée de leur parcours au sein d’EY - qu’elle se poursuive jusqu’à la cooptation en tant qu’associé ou bien dans d’autres organisations -, cette expérience marquera leur carrière. S’ils font ce choix, ils ont la possibilité de rejoindre le réseau d’anciens « EY Alumni ». Le lien ne se rompt pas, il s’entretient.

EY mène depuis plusieurs années une politique active de recrutement de personnes en situation de handicap. En quoi l’expérience EY dont vous parlez les concerne-t-elle ?

Le recrutement de personnes en situation de handicap est effectivement au cœur de notre stratégie RH depuis 2009. C’est une démarche complexe car l’essentiel de nos candidats est issu des grandes écoles et les étudiants en situation de handicap sont encore trop peu nombreux. Pour autant, nous avons fait le choix de ne pas changer notre stratégie et de ne pas faire de compromis sur les compétences, car nous sommes convaincus que c’est ce que nos clients et nos collaborateurs recherchent. Quelle que soit leur situation, tous nos candidats suivent le même parcours de recrutement. La Mission Handicap EY, créée en 2009, intervient parallèlement au processus de recrutement, afin d’étudier, dans un dialogue permanent, les besoins propres à chaque situation et de mettre en œuvre les solutions appropriées pour une intégration réussie. Nous avons progressé et démontré notre capacité à veiller aux besoins spécifiques de nos collaborateurs en situation de handicap et cela dans tous nos métiers. Aujourd’hui, plus d’une vingtaine de collaborateurs handicapés nous ont rejoints, portant à 50 le nombre de salariés en situation de handicap chez EY, et vivent l’expérience EY.

EY, ce n’est que de l’audit ? Quels sont les autres métiers que vous proposez aux jeunes diplômés ?

Il est vrai qu’en tant que leader français de l’audit des sociétés cotées, nous recrutons beaucoup de profils issus des meilleures formations pour nos métiers de l’audit. Mais la moitié de notre activité repose sur le conseil en stratégie, en management et en technologie, les transactions, l’actuariat, le droit et la fiscalité. Ce sont donc autant de possibilités de démarrer ou de poursuivre une carrière chez EY. Nous sommes par ailleurs convaincus qu’il existe une transversalité entre tous nos métiers – ce qui a pour effet d’enrichir le parcours de nos collaborateurs pour en faire les meilleurs experts dans leur domaine. Cette transversalité transparaît au travers de missions complexes où consultants, avocats et fiscalistes travaillent ensemble pour apporter des solutions sur-mesure et pérennes aux problématiques de nos clients.

Ernst & Young est devenu EY, pourquoi avez-vous fait le choix de changer de nom ?

Le changement de nom correspond à une simplification ; le véritable changement, c’est notre nouvelle signature : Building a better working world qui traduit la mission que s’est fixée EY pour ces prochaines années. Nous sommes convaincus que nous avons un rôle à jouer dans la construction d’un monde plus juste et plus équilibré pour nos clients, nos équipes et pour la société dans son ensemble. Cette ambition se décline en trois axes : construire la confiance, agir pour une croissance pérenne ; faire grandir des leaders grâce à l’expérience EY et s’engager au sein de la Cité pour créer les conditions de la prospérité.

C’est cette ambition que nous proposons de partager avec ceux qui nous rejoignent.