Fabrice Abraham (DG, Guy Hoquet) : "Faire preuve d'enthousiasme"

[Publi-rédactionnel]

Le réseau Guy Hoquet l’Immobilier, aujourd’hui, embauche. Sur quels profils ?

Le secteur immobilier compte beaucoup de métiers et donc de profils différents. Guy Hoquet mène actuellement une campagne de recrutement pour 500 postes de salariés CDI, à 95 % orientés sur les métiers de la transaction. Dans ce cadre, nous allons privilégier la motivation et les aptitudes d’un candidat, plutôt que ses diplômes. Selon nous, pour réussir durablement dans le métier et dans notre réseau, il faut avoir la volonté d’apprendre et l’esprit de service. J’ajoute l’enthousiasme. Pour son métier, sa ville, son quartier.

Votre réseau forme les personnes qu’il emploie. Comment cela fonctionne-t-il ?

Notre école, la Guy Hoquet Business School, nous autorise à aller chercher des profils dépourvus d’expérience dans le secteur immobilier. Il s’agit d’une formation aux aspects juridiques, fiscaux, financiers et bien sûr commerciaux. Elle se déroule en plusieurs sessions et par alternance, avec des épreuves pratiques en agence et d’autres plus théoriques à l’école. Ouverte à tous ceux qui rejoignent le réseau, la Business School dispense des formations initiales, mais aussi d’autres de perfectionnement.

Diriez-vous du secteur immobilier qu’il reste une valeur sûre de l’économie ?

Oui, plus que jamais. Le secteur immobilier se porte bien mieux que ce qu’on peut entendre ou lire. Nous avons la chance d’évoluer sur un secteur où le non-consommateur n’existe pas. Chacun est obligé de se loger et donc, a minima, de louer. Au-delà des aléas économiques, l’immobilier reste porté par des événements qui ne peuvent être différés : naissances, mutations, divorces, décès… constituent autant de raisons de vendre, d’acheter ou de louer.

Un projet immobilier représente un engagement important. Un professionnel se doit-il d’être rassurant pour son client ?

Oui, car une transaction immobilière est chargée d’une dimension affective. Un individu n’effectue en moyenne que trois transactions au cours de sa vie, accompagnées très souvent d’un emprûnt à long terme – 17 ans en moyenne. Le professionnel doit donc également tenir compte de l’angoisse bien compréhensible que ressent le client au moment de se décider.

Le négociateur se retrouve entre deux parties aux intérêts parfois contradictoires. Comment doit-il se placer ?

Une vente nécessite d’abord l’entente sur le prix et la chose. Le premier client d’un conseiller en immobilier, c’est le propriétaire-vendeur. Il faut d’ailleurs parfois ajuster ses prétentions financières, après estimation du bien selon notre méthodologie spécifique. Le négociateur tente ensuite de convaincre l’acheteur pour trouver un accord entre les parties. Il faut comprendre que la vente n’est que la partie émergée de l’iceberg : elle vient en conclusion d’un processus complexe, qui débute par une grosse activité de marketing et de prospection sur le terrain.

Dans un monde où la communication va de plus en plus vite, comment voyez-vous l’avenir de votre métier ? 

Il y a quinze ans, les agences ont su s’adapter à l’arrivée du Web. Aujourd’hui, de plus en plus de conseillers ont un compte Twitter ou une page Facebook : ils y présentent non seulement leurs services, mais aussi la vie de leur quartier. Avant d’être de bons professionnels, ce sont de bons voisins sur qui on peut compter.

Il est donc aussi question de transparence et d’éthique…

En effet. La profession d’agent immobilier nous est apparue comme méconnue et mal-aimée du grand public. C’est pourquoi le réseau Guy Hoquet s’appuie sur la notion d’immobilier garanti, à partir de neuf critères. Exemple : nous garantissons au propriétaire le prix et le délai de vente. En clair, si je ne respecte pas les engagements que j’ai pris, le client ne me doit pas d’honoraires. Ces garanties nous sont tout à fait exclusives.

Consultez le site entreprendre de Guy Hoquet