- « Allez-vous retourner en Jamaïque pour travailler ? » (Je suis Française)
- « Avez-vous des règles douloureuses ? »
- « Que pensez-vous de la drague au bureau ? »
- « C’est un suçon que vous avez dans le cou ? » (C’est une tache de naissance)
- « C’est quand la dernière fois que vous avez pris de la drogue ? »
- « Seriez-vous prêt à travailler gratuitement ? »
- « Prévoyez-vous d’avoir des enfants bientôt ? »
- « Pourriez-vous mettre plus de maquillage la prochaine fois ? »
- « Seriez-vous capable de flirter avec les clients pour les faire rester plus longtemps ? »
Les employeurs n’ont pas le droit de poser des questions discriminantes en rapport avec le sexe, l’âge, l’orientation sexuelle, les origines ethniques, etc. La loi l’interdit, aussi bien en Angleterre qu’en France. Sauf que personne n’est là pendant l’entretien d’embauche pour contrôler si les recruteurs la respectent… Pour le savoir, le cabinet spécialisé en droit du travail Thomas Mansfield a donc demandé à un groupe d’étudiants anglais quelle était la pire question qu’on leur ait posée en entretien d’embauche. Leurs réponses ont été révélées en images sur le blog du cabinet le 23 avril 2015.
« Allez-vous retourner en Jamaïque pour travailler ? » (Je suis Française)
« Avez-vous des règles douloureuses ? »
« Que pensez-vous de la drague au bureau ? »
« C’est un suçon que vous avez dans le cou ? » (C’est une tache de naissance)
« C’est quand la dernière fois que vous avez pris de la drogue ? »
« Seriez-vous prêt à travailler gratuitement ? »
« Prévoyez-vous d’avoir des enfants bientôt ? »
« Pourriez-vous mettre plus de maquillage la prochaine fois ? »
« Seriez-vous capable de flirter avec les clients pour les faire rester plus longtemps ? »
Cette initiative anglaise rappelle le tumblr "On vous contactera" (toujours accessible) mis en ligne par Europe Ecologie Les Verts en 2014. Lui aussi dénonce, photos à l’appui, les questions abusives posées par les recruteurs aux chercheurs d’emploi, mais en France.
Le travail et l’écologie sont mes thématiques de prédilection. En tant que journaliste indépendante, je cherche notamment à répondre aux questions que posent ces deux sujets pour mieux comprendre comment le travail, et les travailleurs, peuvent contribuer à la transition écologique.