Si un tiers des cadres considère Nantes comme l’une des métropoles les plus attractives, pour son dynamisme et sa qualité de vie, ils sont bien moins nombreux à la citer en tête sur le plan économique (entre 20 et 29 %). Et entre 40 et 49 % des cols blancs estiment qu’il est facile d’y trouver un emploi, selon une étude Apec 2014. Les chiffres vont dans le même sens : 4 026 destructions d’emploi en 2013, pour seulement 2 922 créations. Et les créations d’entreprise ont marqué une légère baisse, de 3 128 à 3 106 entre 2012 et 2013 (Insee).
Des cadres de plus en plus nombreux
Pourtant, les cadres se portent plutôt bien à Nantes. Ils y sont de plus en plus nombreux : 34 618 en 2011, contre 30 126 en 2006. Parmi les entreprises qui créent de l’emploi cadre dans l’agglomération nantaise, on peut citerProservia (entreprise de services numériques) avec 2 097 création de poste en 2013.Et le tissu économique local peut compter sur une politique dynamique et la création de pôles de compétitivité, iDforCar, EMC2 et Atlanpole Biotherapies, par exemple.
Une ville attractive pour les entreprises étrangères
Enfin, certaines entreprises étrangères élisent cette ville de l’Ouest pour installer leur siège social. C’est le cas de la filiale française du groupe allemand Vorwerk, créatrice du robot multifonctions Thermomix qui a déplacé son siège social de Marly-Le-Roi (Yvelines) à Nantes en 2005.
Pour aller plus loin : le site de Nantes Métropole.
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Le travail et l’écologie sont mes thématiques de prédilection. En tant que journaliste indépendante, je cherche notamment à répondre aux questions que posent ces deux sujets pour mieux comprendre comment le travail, et les travailleurs, peuvent contribuer à la transition écologique.