Chaïmaa a 22 ans. Elle suit actuellement une formation commerciale de niveau Master 2, et depuis quelques semaines, elle est en contrat d'apprentissage sur le poste de directrice adjointe dans un supermarché Casino. Pour autant, son histoire commune avec l'enseigne a commencé bien plus tôt. En classe de terminale, Chaïmaa recherche un emploi étudiant et s'adresse naturellement à son supermarché de quartier, qui l'embauche aussitôt comme hôtesse de caisse le week-end. L'expérience est positive, le contact avec les collègues à la fois chaleureux et professionnel. Résultat : depuis ce premier pas, Chaïmaa multiplie les expériences dans les magasins Casino.
L'apprentissage chez Casino, un parcours gagnant-gagnant
Etre apprenti, cela signifie étudier tout en ayant un pied dans l'entreprise. Chaïmaa partage son temps entre la formation théorique à l'école et la pratique en entreprise, aux côtés des professionnels et sous le contrôle d'un tuteur (voir le site de Casino consacré à l'apprentissage : montuteuretmoi.com). Pour la jeune femme, c'était le seul moyen de poursuivre des études puisque l'entreprise prend en charge le volet financier de la formation et rémunère son apprentie.
Chaïmaa devient apprentie alors qu'elle étudie en DUT. En parallèle de ses études, elle est rattachée au secteur libre-service d'un magasin Casino. Mais la jeune femme, curieuse et volontaire, propose aussi de l'aide aux rayons frais. « Pendant la période des fêtes, raconte-t-elle, j'ai donné un coup de main en poissonnerie. Le chef m'a appris comment lever un filet, vider un poisson et l'écailler ». C'est le coup de cœur. Chaimaa avance dans son parcours, et en parallèle d'une licence pro, elle décide de se spécialiser dans les produits frais chez Casino. Aujourd'hui, elle poursuit son apprentissage en tant que directrice adjointe, passant 3 jours sur 15 à l'école pour suivre des cours et le reste en entreprise, à exercer son métier. Selon elle, tout est lié : « l'an dernier, je suivais un cours sur la redynamisation des rayons. Dans les semaines qui ont suivi, j'ai mis cet enseignement en application pour le rayon fruits et légumes ». Au bout du compte, l'apprenti est évalué deux fois : par l'école via le contrôle continu et les partiels, et par son tuteur en entreprise.
Accompagné pour mieux évoluer
Pour évoquer le rôle de son tuteur, Chaïmaa préfère employer le terme de « mentor » et souligne l'entraide qui existe entre collaborateurs. Aujourd'hui, si elle reste étudiante, Chaïmaa est une véritable professionnelle respectée en tant que telle dans l'entreprise. Autonome dans l'organisation de ses journées, elle sait ce qu'elle doit faire (inventaire, tour des rayons, suivi des équipes) mais se souvient aussi qu'elle peut à tout moment interroger son tuteur et ses collègues, toujours prompts à lui répondre « dans un état d'esprit d'entraide, à la fois amical, familial et très professionnel ».
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