Immobilier : un secteur d’avenir

[Publi-rédactionnel]

Le réseau Guy Hoquet l’Immobilier voulait savoir. Grâce aux réponses collectées par l’institut de sondage CSA, ses dirigeants peuvent conclure que le secteur immobilier restera marqué par une consommation forte. À l’appui de cette conviction, les résultats d’une grande étude nationale, réalisée auprès des 18-29 ans, au sujet de leurs projets d’acquisition. Il en ressort clairement que le besoin se renouvelle constamment. Pour les jeunes aussi, acheter un bien immobilier demeure une priorité : sur le panel interrogé, plus de quatre répondants sur cinq disent leur espoir de devenir propriétaires avant d’avoir 30 ans. Ce grand projet s’affirme comme leur objectif numéro 1, avant les voyages et l’opportunité de fonder une famille. Bonne nouvelle pour les professionnels : six jeunes sur dix jugent leur ambition réalisable.

Les professionnels toujours sollicités

Comment s’y prendront-ils pour dénicher le bien idéal, le moment venu ? Dans une majorité des cas (60 %), ils disent vouloir s’appuyer sur le soutien d’un agent immobilier afin de mener à bien leur recherche. Très active sur Internet et les réseaux sociaux, cette génération continue de privilégier le recours aux spécialistes, tout en attendant d’eux qu’ils leur offrent un service adapté à leurs besoins spécifiques de jeunes consommateurs. Deux qualités s’avèrent tout à fait indispensables : l’éthique et la transparence. Dans un contexte de crise économique, la pierre reste au cœur des préoccupations et désirs des Français, y compris donc parmi les plus jeunes. Il est vrai que le secteur tient une place particulière dans l’économie nationale. Il s’appuie en effet sur une demande permanente, alimentée par les évolutions naturelles de la vie du consommateur lambda : mutation professionnelle, mariage, élargissement de la famille, entre autres, ouvrent chaque jour de nouvelles parts de marché. Quand elle se décide à acheter, la jeune génération se montre dynamique : à défaut d’obtenir aussitôt le nid le plus douillet, ces futurs propriétaires n’hésiteront pas à effectuer eux-mêmes de gros travaux d’aménagement. Leurs recherches s’orientent souvent sur des appartements de surface modeste, studios ou deux-pièces. « Les jeunes sont lucides sur les difficultés d’accès au logement, analyse Fabrice Abraham, directeur général du réseau Guy Hoquet l’Immobilier. Ils demeurent toutefois ambitieux pour leur projet personnel et se dévoilent assez conformistes, en voyant dans l’acte d’achat une dimension statutaire et sécuritaire ». L’étude menée avec CSA a aussi permis d’établir que le logement représentait en moyenne 35 % du revenu net mensuel des jeunes, contre 24 % pour l’ensemble de la population française. En moyenne toujours, c’est à 33 ans que les Français propriétaires ont pu acquérir leur premier logement.

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