
Alors ? Alors deux solutions s’offrent à vous si vous vous reconnaissez dans ce mal-être qui n'a rien à voir avec le Blue Monday :
La complainte de la complaisance vous incitera à râler contre le chef, les collègues, le service et l’entreprise jusqu’au printemps en espérant que les premiers UV soigneront votre blues de démotivé, tout en sachant pertinemment que les fleurs qui poussent et les arbres qui verdissent ne feront que cacher la forêt de votre malaise au boulot.
Et puis il y l’autre formule, simple, efficace et qui tient en deux mots : se carapater.
Se tirer, se barrer, décamper, ficher le camp, mettre les bouts...
Pas d’un instant à l’autre en claquant votre démission, surtout pas ! Mais en préparant soigneusement votre départ, en posant judicieusement vos congés et RTT pour faire une pause, et réfléchir à l’avenir.
Comme l'ont fait ces cadres qui viennent tout juste de changer de job :
Covid et restrictions sanitaires obligent, inutile de penser faire le point sur votre avenir pro en formule vacances mojito-hamac-spa. Cadremploi est là pour ça. Pour des lendemains qui ne chanteront pas forcément tous les matins, mais qui, au moins, vous éviteront de justifier votre blues par une étude aussi peu scientifique que la platitude de la planète.
Je suis rédactrice en chef de Cadremploi depuis 2006, en charge de la rubrique actualités du site. Je couvre des sujets sur la mutation des métiers, l'évolution des rapports recruteurs/recrutés, les nouvelles pratiques managériales ou les avancées de la parité. A la fois sous forme de textes, d'émissions video, de podcasts ou d'animation de débats IRL.